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Le trouble dysphorique prémenstruel (TDPM) est une forme sévère du syndrome prémenstruel (SPM) avec au premier plan des symptômes "psychiatriques", survenant durant la dernière semaine de la phase lutéale (post ovulatoire) et s'améliorant au début de la phase folliculaire (premier jour des règles).


Les femmes souffrant de ces troubles sont confrontées à un isolement certain du fait de l'errance de diagnostic.

L'impossibilité de mettre un nom sur les troubles dont elles souffrent au quotidien créer une grande souffrance et les privent d'espoir d'amélioration par le biais de solutions efficaces .


Les caractéristiques essentielles du TDPM sont : une humeur dépressive, une anxiété et une labilité émotionnelle marquées, ainsi qu'une diminution de l'intérêt pour les activités de la vie quotidienne.


Le TDPM est notoirement difficile à identifier comme tel.





Voici l'ensemble des manifestations qui peuvent faire penser aux TDPM:


Manifestations comportementales en deuxième moitié de cycle:

  • Sentiment de profond désespoir ou de tristesse

  • Pensées suicidaires possibles

  • Sentiment de tension ou d'anxiété

  • Forte sensibilité au rejet et aux critiques

  • Crises de panique

  • Humeur changeante, pleurs

  • Irritabilité ou agressivité durable,

  • Forts conflits relationnels

  • Apathie ou désintérêt des activités et relations journalières

  • Difficulté de concentration

  • Fatigue

  • Fort appétit voire pulsions alimentaires incontrôlables

  • Insomnies ou Hypersomnies

  • Besoin sommeil augmenté ou, (dans une mineure partie des cas, incapacité à dormir

  • Sentiment de ne pas se contrôler

  • Intensification ou diminution du désir sexuel

  • Fort besoin de se confier à autrui


Les symptômes physiques incluent notamment :

  • Gonflement des seins

  • Troubles du transit

  • Maux de tête

  • Douleurs musculaires


Les médecines douces à la rescousse:

La NATUROPATHIE permet d'accompagner ces troubles en s'appuyant sur des béquilles naturelles ( Phytothérapie, Aromathérapie, Gemmothérapie, massages) mais également en rééquilibrant l'alimentation afin de diminuer voire de faire disparaitre les troubles de seconde partie de cycle.


Ostéopathie, acupuncture et sophrologie viendront, en toute complémentarité, apporter un soutien thérapeutique de qualité.






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